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Même sans prendre en compte les risques de cancer, les sodas light sont mauvais pour la santé

Les complications du diabète de type 2

En l’état actuel des connaissances médicales, le diabète de type II est une affection incurable qui, si elle n’est pas soignée ou mal soignée entraîne inévitablement à plus ou moins longue échéance des complications extrêmement sérieuses. Il en existe plusieurs types :

La théorie des trois mondes, une approche symbiotique

L'approche symbiotique considère le cerveau, le corps et la flore bactérienne intestinale comme trois « mondes » distincts mais reliés, fonctionnant en association intime et durable. Ces trois « mondes » interagissent, se parlent et parfois se combattent. Ces combats suscitent des déséquilibres qui se traduisent par des maladies.

Notre société est-elle diabétogène?

L’industrialisation, la mécanisation de l’agriculture et la mise au point de pesticides efficaces ont permis à une part croissante de l’humanité de désormais manger à sa faim… voire davantage. Mais à peine le spectre de la sous-alimentation s’éloignait-il que l’on bascula dans la surabondance. Les Américains qui consommaient en moyenne 2 200 calories par jour en 1970 (c’est-à-dire la quantité recommandée pour un adulte) s absorbent aujourd’hui 2 700 calories. Et notre planète compte aujourd’hui plus de « trop gros » que de mal-nourris !

Le prédiabète expliqué

Le diabète de type II est apparu au début du XXe siècle lorsque le sucre a cessé d’être une denrée rare pour faire son apparition sur toutes les tables. Le Vieux monde n’a longtemps disposé pour édulcorer les mets que de miel ou de sucre de betterave et les desserts tels que nous les connaissons n’étaient pas vraiment entrés dans les mœurs. Les concoctions sucrées ne représentaient qu’une part infime dans les grands traités culinaires comme le Ménagier de Paris, ou le Viandier de Taillevent… tandis qu’aujourd’hui elles occupent un bon quart des pages des livres de cuisine lorsque des ouvrages entiers ne leur sont pas consacrés.

Lipides et santé

Lles lipides ne devraient pas pour autant représenter plus de 30 % de notre apport calorique : un peu de beurre au petit-déjeuner plus 2 à 3 cuillerées à soupe de matières grasses ajoutées (moins si l’on mange des graines ou des fruits oléagineux comme les amandes ou les olives). Au-delà, on bascule vite dans l’abus, potentiellement nocif.

Qu'est ce que le diabète?

Le diabète résulte d’une anomalie touchant le fonctionnement d’une hormone appelée l’insuline. Produite par le pancréas, l’insuline permet au glucose (sucre) contenu dans les aliments d’être utilisé par les cellules du corps humain. Si l’insuline est produite en quantité insuffisante ou si elle ne remplit pas son rôle adéquatement, comme c’est le cas dans le diabète, ce glucose ne peut pas alimenter correctement les cellules. Il s’accumule alors dans le sang et est ensuite déversé dans l’urine.

Omega-3 et Omega-6

Les acides gras oméga-3 et oméga-6, qui représentent les deux catégories principales d’acides gras polyinsaturés (AGPI), agissent dans l’organisme de manière antagoniste, si bien que leur part relative au sein de notre apport lipidique importe tout autant que l’apport quantitatif de chacun.

Comment limiter ou stopper les risques du diabète

Le diabète est une maladie liée au sucre. Les diabétiques souffrent d’un problème d’assimilation, d’utilisation et de stockage des sucres apportés par l’alimentation. Ce trouble se traduit par un taux élevé de glucose dans le sang : on parle alors d’hyperglycémie.

Le diabète dans le monde

Le diabète de type II quant à lui touche aujourd’hui près de 250 millions de personnes (soit 6 % de la population mondiale).